A la fin 1987, le ministère autorise l’université à procéder à de nouvelles élections afin de se choisir un nouveau président et sortir de l’ornière institutionnelle.
Serge Renaudin, ancien doyen-coordinateur de l’ensemble sciences, opposé à toute idée de scission, est élu. Avec un volontarisme certain, il lance une série de réformes et renouvelle le dialogue avec les composantes pour permettre à l’université de retrouver une certaine sérénité à l’heure où s’annonce un nouveau défi de taille, celui de la massification.