Les événements qui se déroulent ne donneront pas lieu à des violences même si celles-ci semblent avoir parfois été évitées de justesse.
Le Préfet Jean-Emile Vié reconnaitra en effet par la suite avoir demandé l’autorisation de pouvoir tirer à balles réelles contre les manifestants si ceux-ci tentaient d’envahir la Préfecture. Autorisation qui lui avait été refusée par le Ministre de l’Intérieur.
La violence restera principalement cantonnée à des attaques ad hominem vécues diversement.